Arielle Dombasle

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Arielle Dombasle poursuit sa carrière musicale. Deux ans après l'album "Empire" avec Nicolas Ker, décédé en mai 2021, la comédienne et chanteuse rend désormais hommage à la célèbre Barbie sur son nouveau single "Barbiconic". « Je me suis toujours identifiée, comme toutes les petites filles, à la poupée Barbie quand j'étais enfant. C'était la femme moderne par excellence, la première des féministes » explique l'artiste dans "Télématin", assumant cette vision positive de ce personnage culte qui aura droit à son propre film en 2023 avec Margot Robbie et Ryan Gosling : « C'est la première poupée moderne des petites filles qui était pompier, secrétaire, astronaute, avocate, top model. Elle fait tous les sports, elle peut jouer tous les rôles. Elle avait des Ken. (...) Elle est innovante, elle évolue ». L'occasion pour elle de replonger en enfance : « J'ai eu une collection de Barbie. L'idée de pouvoir la coiffer, lui couper les cheveux, j'étais absolument enchantée. J'aimais dans l'enfance qu'on m'appelle "poupée Barbie". Ensuite, j'ai souffert de la réduction éternelle "Arielle c'est la poupée Barbie" ».

"You are in plastic, you are inconic !"

« You are in plastic / You're feministic / You are so mystic / We are terrific / I am dramatic / I am exotic / I am extatic / You are iconic ! » répète ainsi Arielle Dombasle sur le refrain électro-pop de son single "Barbiconic", écrit et composé par Charly Voodo (Madame Arthur). Dans son clip, la chanteuse s'amuse avec sa panoplie de Barbie et rend hommage à la poupée caméléon, en se glissant dans sa peau dans des décors flashy. Essayant ses tenues dans son dressing rose, se prélassant dans son jardin ou en pleine séance de sport, Arielle Dombasle se plait à incarner différentes facettes de Barbie avec malice. Avis aux fans : la chanson "Barbiconic" est le premier extrait de l'album "Iconics" d'Arielle Dombasle, prévu pour l'automne 2022.

Sur ce disque, Arielle Dombasle rendra également hommage aux grandes divas de l'âge d'or de la musique à travers des reprises : « J'ai pris des figures qui m'ont accompagnée toute la vie. Des modèles de femmes, des grandes inspiratrices qui m'ont modelée, qui m'ont forgée. Ce sont des icônes auxquelles je dois beaucoup ». Citant Shirley Bassey, Marilyn Monroe ou Joséphine Baker, elle reprendra notamment le cultissime "Fever" de Peggy Lee sur le projet.