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Nicki Minaj accusée de plagiat par le rappeur Brinx Billions

Par Théau BERTHELOT | Journaliste
Passionné par la musique autant que le cinéma, la littérature et le journalisme, il est incollable sur la scène rock indépendante et se prend de passion pour les dessous de l'industrie musicale et de l'organisation des concerts et festivals, où vous ne manquerez pas de le croiser.
Nicki Minaj est accusée de plagiat pour son titre "Rich Sex", sorti en 2018. Selon les médias américains, le rappeur Brinx Billions assure être le seul auteur-compositeur de la chanson, qu'elle lui aurait "volé". Il lui réclame 200 millions de dollars de dommages et intérêts.
Crédits photo : Abaca
Nicki Minaj est encore dans la tourmente. Actuellement en pause après son mariage et la naissance de son fils, la star américaine est à nouveau accusée de plagiat par le rappeur Brinx Billions. L'objet de la discorde ? Le titre "Rich Sex", présent sur l'album "Queen" (2018). Comme le rapporte TMZ, la rappeuse aurait « volé » ce morceau à Brin Billions, chanteur avec lequel elle est amie depuis une quinzaine d'années. De son vrai Jawara Headley, Brinx Billions clame qu'il aurait fait écouter sa propre version de "Rich Sex" à Nicki Minaj en 2016. Selon des documents obtenus par le média people américain, l'interprète d'"Anaconda" lui aurait assuré qu'il s'agissait-là d'un titre qui aurait tous les atouts pour devenir un tube mondial. Brinx Billions clame de son côté que la rappeuse lui aurait « volé » le morceau "Rich Sex", dans tous ses aspects : autant la mélodie que des couplets entiers et même le titre.

200 millions de dollars de dommages réclamés


Sorti en 2018 sur l'album "Queen" dans une version en duo avec Lil Wayne, "Rich Sex" cumule aujourd'hui 65 millions d'écoutes en streaming sur Spotify. Bien qu'il soit crédité sur le morceau avec quatre autres personnes, le rappeur Brinx Billions en réclame l'unique paternité et poursuit donc Nicki Minaj en justice, ainsi que les labels Universal Music Group, Young Money et Cash Money, et réclame pas moins de 200 millions de dollars de dommages et intérêts. Pour l'heure, ni Nicki Minaj ni son management n'ont réagi à cette affaire.

Ce n'est pas la première fois que Nicki Minaj se retrouve dans la tourmente pour des questions de droits d'auteur. En 2018, Tracy Chapman l'avait également poursuivi en justice. Selon l'interprète du tube "Talkin' About a Revolution", la rappeuse aurait emprunté les paroles et la mélodie de son titre "Baby I Can't Hold You", sorti en 1988, pour le morceau "Sorry", sans aucune autorisation. Si les équipes de Nicki Minaj assuraient avoir fait plusieurs demandes auprès de Tracy Chapman pour régler le problème de sample, en vain, la star américaine récemment devenue maman avait finalement renoncé à inclure ce titre dans son album "Queen".

Retrouvez toute l'actualité de Nicki Minaj sur son site officiel et sa page Facebook.
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