Soolking

Samedi soir, Soolking était l'un des invités de l'émission "La chanson de l'année" diffusée à 21h sur TF1. Depuis les jardins du splendide Château de Chambord, le chanteur algérien a apporté un peu de soleil au milieu des feux d'artifice en interprétant "Bebeto" avec Kendji Girac. La dernière d'une très longue liste de collaborations pour celui qui a explosé avec les tubes "Dalida" et "Zemër", et a depuis partagé le micro avec Dadju ("Melegim"), Jul, SCH, Gambi, Heuss l'Enfoiré ("La Kichta"), Cheb Mami mais aussi Diplo, Louane, Imen Es ou encore Hatik ("Unité"), Camélia Jordana, Alonzo... C'est bien simple, l'artiste de 31 ans est partout !

Et Soolking ne cache pas sa fierté de démocratiser la musique orientale auprès du public français. « Elle fait partie de mon ADN musical et mon ADN tout court. J'ai grandi dans ça, c'est la musique que j'ai écouté toute ma vie ça restera toujours. C'est influencé par beaucoup d'artistes que j'ai écouté » expliquait en interview pour Pure Charts celui qui clame son admiration pour Bob Marley, 2Pac, Michael Jackson ou Cheb Hasni sur la pochette de son dernier album "Vintage" : « Ce sont des artistes qui m'ont grave influencé, ce sont des putains de légende de la musique. Est-ce que c'est par nostalgie ? Peut-être un peu, je ne sais pas. (...) Je suis un nostalgique qui reste très futuriste dans sa musique. J'aime bien faire des recherches, évoluer ».

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"Allez, come on, tu m'as rendu fada"

Alors qu'il apparait sur le nouvel de Sofiane "La direction" entré numéro un des ventes, Soolking est prêt à décrocher un nouveau tube de l'été. Le musicien entend bien rayonner sur les ondes durant les grandes vacances avec "Fada", morceau inédit produit par Zak Cosmos (L'Algérino, Mister You) qui accroche l'oreille dès la première écoute avec ses notes de guitare, son beat pop-urbain et ses paroles entêtantes. « Joue, joue, joue à ça / Elle joue, elle joue, elle joue à ça / Ah, zoom, zoom, zoome-moi ça / Le corps et l'flow, elle a tout ça » lance Soolking sur le refrain, en colère contre une femme « instable » qui joue avec ses sentiments : « Elle, c'est une mytho (elle mytho) / Elle va m'quitter (elle va l'quitter) / Pour des pipeaux (pour des pipeaux) / Elle m'fait chanter (elle l'fait chanter) ». Pensé comme une ode à l'évasion, le clip de "Fada" nous entraîne entre les dunes de sable, les palmiers et le coin du feu pour une soirée conviviale où se mélangent danseurs et musiciens traditionnels. Que la fête commence !