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Renaud étrillé : Bénabar prend sa défense après une critique virulente et "minable"

Par Yohann RUELLE | Journaliste
Branché en permanence sur ses playlists, il sait aussi bien parler du dernier album de Kim Petras que du set de techno underground berlinois qu'il a regardé hier soir sur TikTok. Sa collection de peluches et figurines témoigne de son amour pour les grandes icônes de la pop culture.
Bénabar monte au créneau pour défendre son ami Renaud. Après la publication d'un article au vitriol du Figaro concernant la chanson "Si tu me payes un verre", l'artiste s'en prend à l'auteur du papier qu'il qualifie de "minable".
Crédits photo : Bestimage
Le retour événement de Renaud ne laisse personne indifférent. En prélude d'un nouvel album nommé "Métèque", dans lequel il reprendra des chansons d'artistes chères à son coeur comme Yves Montand, Jean Ferrat, Georges Moustaki ou Françoise Hardy, le chanteur à la voix rocailleuse vient de sortir "Si tu me payes un verre", un texte emprunté à Serge Reggiani dans lequel il refait le monde avec un compagnon de table. Si les fans seront sans doute conquis par cette relecture piano-bar, la coupe est déjà pleine pour Le Figaro qui a publié un article au titre évocateur, « La chanson française trinque ». « Cela ressemble à de l'acharnement thérapeutique » écrit d'emblée l'auteur des lignes, qui ne goûte guère à ce Renaud nouveau cru ni à son clip tourné dans un établissement du quartier Montmartre à Paris avec l'acteur Jean-Paul Rouve, réduit ici au « rôle du pot de fleurs ou du bon copain dont on ne sait s'il sourit par gêne ou par pitié ».

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"Renaud = ami et grand poète"


« Pas sûr que ses fans soient "les cocus les plus heureux du monde" comme le dit cette chanson » indique le journaliste, qui imagine alors d'un ton ironique une conversation entre Renaud et son directeur artistique. Ce dernier, « prêt à tout » pour sortir des nouvelles chansons avec son nom, ne lui laisse pas placer un mot et égratigne aussi bien "Corona Song" que Bénabar, avec qui le musicien a enregistré le duo "Chez les Corses". Sous-entendu : la manoeuvre derrière ce nouvel album serait moins artistique que mercantile, avec un Renaud à qui on aurait forcé la main. Une critique qui a fait bouillir le sang de... Bénabar, qui s'en prend au rédacteur du Figaro dans un message courroucé partagé sur les réseaux sociaux. « Olivier Nuc, connu par tous pour être un "journaliste" à la déontologie très souple, tente d'exister en crachant sur Renaud. Il va jusqu'à parler d'acharnement thérapeutique avec tout ce que cela sous-entend ! » fustige-t-il, outré, avant de piquer à son tour : « L'exercice de la critique musicale nécessite aussi une intelligence humaine qui fait cruellement défaut à ce triste sire ».

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"Un écrit minable destiné à satisfaire un ego frustré"


Défendant bec et ongles son « ami et grand poète », l'interprète de "On lâche pas l'affaire" rappelle qu'on évoque une figure de la chanson française qui « a donné et donnera encore tellement de bonheur à tant de gens ». « Ce que ne fera pas ce minable écrit (qui m'éreinte au passage) uniquement destiné à satisfaire un ego frustré » ajoute Bénabar, dont l'animosité contre ce journaliste ne semble pas remonter à cette affaire. « Nous savons tous parfaitement qui te dicte tes attaques gratuites et répétées me concernant. Tu es et resteras le domestique, l'idiot utile du "Tout-petit-Paris chic" que tu as choisi de servir faute d'en faire partie » écrit-il dans une conclusion pleine d'allusions, directement adressée à l'auteur, qui n'a pas encore répondu.



Visitez le site Internet officiel Benabar.com et sa page Facebook.
Écoutez et/ou téléchargez l'album "On lâche pas l'affaire" de Bénabar.

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