Vegedream

Crédits photo : Montage Pure Charts / Bestimage
Après avoir ramené la coupe à la maison, Vegedream célèbre cette fois-ci ses origines ivoiriennes. Avec son troisième album "Ategban" sorti il y a un mois, le rappeur orléanais met à l'honneur son pays d'origine mais aussi les « relations homme-femme ». Pourtant boosté par l'énorme succès de son titre "Ramenez la coupe à la maison", le chanteur avoue aujourd'hui en être un peu lassé : « C'est à double tranchant un peu parce qu'à chaque fois qu'on parle de moi, on parle de cette foutue coupe qu'on a enfin ramené à la maison. Tous les soirs je le chante […] c'est le jeu. Ça me fait plaisir mais quand ils chantent autre chose aussi c'est bien » a-t-il confié au micro de Pure Charts. C'est la raison pour laquelle il multiplie les collaborations sur ce troisième opus avec Damso ("Personne"), RK ("Tchop") ou encore Ninho sur l'un des tubes de l'été, "Elle est bonne sa mère"

"Il y a des mélodies aujourd'hui qui tournent en rond"

Mais ce n'est pas tout ! En interview pour Konbini, l'artiste, dont le récent clip de "Tu m'as menti" a suscité de nombreuses réactions, a avoué qu'il adorerait collaborer avec... Angèle et Christine and the Queens ! « Juste pour la vie, juste pour apprendre ce serait magnifique » s'exclame-t-il. Vegedream affirme donc qu'il « y a des mélodies aujourd'hui, ça ne te choppe plus, ça tourne un peu en rond mais ces femmes, elles ont quelque chose » avant d'avouer qu'il s'est rendu à l'un des concerts de Chris : « J'ai entendu des trucs que je n'ai jamais entendu de ma vie. C'était incroyable ». Le message est passé ! Et cette proposition ne devrait pas effrayer les deux artistes qui ont déjà côtoyé à de nombreuses reprises le monde du rap. Angèle a chanté avec Damso sur "Silence" avant de collaborer avec son frère Roméo Elvis sur "J'ai vu" et le tube "Tout oublier". De son côté", Christine and the Queens a fait appel à Booba ("Here") ou Tunji Ige ("No Harm Is done") puis a rejoint Hamza et Oxmo Puccino sur "Minuit 13".

Regardez Vegedream en interview (à partir de 1'01) :