Bonjour Quentin, Quelles sont les raisons pour lesquelles tu t’impliques dans ce combat contre le cancer auprès de Night For Life ?
Quentin Mosimann : Je m’y suis très rapidement impliqué. Comme tous les artistes présents, je pense que c’est une cause qui touche tout le monde de près ou de loin. On ne peut pas ignorer que cette maladie est la première cause de mortalité au Monde et il faut se battre contre ce fléau. Le fait d’être ensemble, de se mobiliser dans la joie et la musique est une très belle idée.
Penses-tu justement que cet évènement peut inciter les jeunes à s’informer par exemple ?
As-tu déjà été confronté à cette maladie ?
Comme tout le monde je pense. Il me semble que de près ou de loin, chacun a ou a été confronté à cette maladie.
Comment fais-tu personnellement le choix de t’investir dans une cause plutôt qu’une autre ?
Tu prépares la sortie de ton deuxième album. Comment gères-tu cet engagement dans une période assez chargée pour toi ?
Je t’avoue en effet que j’ai un planning plus que chargé en ce moment. Cela me semble important de prendre du temps pour cette cause et cela me fait très plaisir d’y consacrer une journée dans la semaine. Si les gens ne prenaient ne serait-ce que dix minutes dans l’année pour faire un don, faire quelque chose pour participer à cette lutte contre le cancer…, ce serait déjà pas mal.
Dans une précédente interview, tu me parlais de tes activités sous ton nom de Quentin Mosimann et de celle de DJ sous la casquette de John Louly. Qui seras-tu pour ce concert ?
John Louly est très gentil, je l’aime beaucoup mais j’ai désormais tendance à tout faire sous le même nom. Les remixes sont faits sous le seul nom de Mosimann mais sinon, je suis la même personne, Quentin Mosimann. Le nouvel album est d’ailleurs plus cohérent avec ce que je fais. Pour ma participation au Night For Life, ma première intervention pourrait être qualifiée de populaire et la deuxième est un peu plus hard entre guillemets.
Un petit mot sur l’album. Quelle est la date définitive de sortie ?
Il arrive le 15 février.
Comment te sens-tu à deux semaines de la sortie ?
Très stressé, très paniqué et très excité en même temps car c’est quelque chose d’énorme pour moi.
Quel regard portes-tu sur l’accueil du premier single "Toc, Toc" ?
Je suis très heureux. Les radios ont pris le pas et je ne pensais que cela marcherait autant.
Quel message aimerais-tu adresser à ton public pour cette cause de la lutte contre le cancer ?
C’est ensemble que l’on peut y arriver. Pour celles et ceux qui n’ont pas pu être là ce soir, ils peuvent continuer à s’informer, aller de l’avant et faire des dons pour la recherche.