Crédits photo : Simon Emmett
« Les armes se sont tues, les étoiles se sont alignées, l'attente est finie. Venez voir, ce ne sera pas télévisé ». Ce mardi matin, l'annonce tant attendue est enfin tombée : Oasis se reforme enfin ! Après 15 ans de séparation et de brouilles, les frères Gallagher ont décidé de régler leurs différends pour faire plaisir à leurs fans. Ainsi, 14 concerts sont prévus à l'été 2025, du 4 juillet au 17 août à Cardiff, Manchester, Edimbourg, Dublin et surtout au Wembley Stadium de Londres pour quatre dates événements. Les places seront mises en vente ce samedi 31 août au matin et nul doute que tout devrait s'arracher en quelques secondes. En une heure, la bande-annonce de ce retour a été visionnée plus de 10 millions de fois sur Instagram et 6,5 millions de fois sur X. Et si les dizaines de millions de fans ont encore du mal à le croire ce matin, Liam et Noel Gallagher ont même partagé une photo prise récemment ensemble, pour sceller leurs retrouvailles.

"Ils nous en doivent une"

La question se pose désormais : Oasis poursuivra-t-il sa tournée événement de reformation en dehors des frontières britanniques ? Un communiqué officiel assure qu'il s'agit là des seules dates européennes prévues en 2025, mais que la bande mancunienne a des « plans » pour visiter d'autres continents sur le reste de l'année, pour ce qui s'annonce comme « la plus grosse tournée de la décennie ». Quid de la France ? On se souvient que c'est dans les coulisses de Rock en Seine, le 28 août 2009, que les deux frères Gallagher ont mis fin à l'aventure Oasis après une énième bagarre. Si aucun show n'est pour le moment confirmé en France, les équipes de Rock en Seine se disent prêtes à reprendre les choses là où elles se sont arrêtées il y a tout juste 15 ans.

Mais si Oasis pourrait revenir enfin à Rock en Seine, ce ne sera pas pour 2025 ! « Ils nous doivent un concert » sourit à France Inter Matthieu Ducos, le directeur du festival francilien qui a accueilli Lana Del Rey, LCD Soundsystem ou Zaho de Sagazan cet été. Dans les colonnes du Parisien, il ajoute : « On se positionnera pour l’été 2026. Ils nous en doivent une ». Patience, donc...