Gérald de Palmas

Crédits photo : ABACA
Avec près de 20 000 exemplaires écoulés de son tout premier best-of en seulement trois semaines, Gérald de Palmas peut être fier du travail accompli. En effet, cette compilation regroupe, bien entendu, ses plus grands succès tels que "Sur la route" (1994), "Au paradis" (2004), "J'en rêve encore" (2000), "Elle habite ici" (2004), "Regarde-moi bien en face" (2000), et d'autres titres moins populaires tels que "Les lois de la nature" (1997), "Mary Jane" (1997) et "Mon cœur ne bat plus" (2009). De plus, se greffent à ce premier volume un autre disque incluant le duo "The First Cut Is The Deepest",une reprise de Cat Stevens (1967) réenregistrée avec Sheryl Crow, et la chanson "Black Or White" de Michael Jackson, entre autres. D'autres titres jamais parus en qualité de single y prennent part, comme "Ma sirène", entendu sur l'album "Les lois de la nature" (1997), et "Faire semblant", présent sur l'album "Un homme sans racines" (2004), de même que quelques versions live issues de sa dernière tournée et une version acoustique du titre "Sur la route". De quoi envisager les fêtes de Noël avec entrain, d'autant qu'on y trouve également les singles inédits "Marie" et "L'étranger". Et pour ceux qui n'en ont pas assez, ils peuvent se procurer dès à présent leurs places pour le prochain concert de Gérald de Palmas à l'Oympia, annoncé ce jour sur son site internet officiel. Fort du succès rencontré à la billetterie, son concert du 8 mars 2012 (complet), le chanteur sera sur la scène de l'Olympia le 30 mai 2012. Les réservations sont d'ores et déjà possibles.

Regardez le nouveau clip de Gérald De Palmas, "L'étranger" :


A l'occasion de la sortie de la compilation "Sur ma route", Pure Charts a rencontré le chanteur. Le temps de faire un bilan puisqu'il fête cette année ses dix-huit ans de carrière. L'occasion de revenir sur son parcours atypique, lui qui ne s'est pas toujours dirigé dans les voies du "système" : « Quand vous vous mettez vous-même à l'écart, les gens prennent cela de façon agressive. C'est normal, je comprends. Mais, en effet, je me suis senti d'entrée décalé parce que j'avais des influences anglo-saxonnes, parce que je ne suis pas né en France... Ça ne m'a pas empêché d'avoir de bonnes relations avec plusieurs artistes. Mais s'il existe un milieu de la musique, je n'ai jamais baigné dedans. »