Cali

Il n’y a rien de pire que d’être hanté par ses ex ! Surtout au moment de passer à l’acte avec son nouvel amour… Si les sentiments amoureux font l’objet de nombreuses chansons - presque toutes en réalité – celles que Cali propose pour son dernier album "La vie est une truite arc-en-ciel qui nage dans mon cœur" se démarquent du commun. En traitant de "L’amour fou" comme l’aurait fait André Breton en son temps, Cali s’inspire de situations vécues et de faits observés autour de lui : croquer la vie à pleines dents, vivre l’amour et la relation physique sans en perdre une miette, tels sont les scenarii que Cali met en scène dans sa nouvelle pièce. Si ses convictions politiques sont toujours clamées haut et fort, elles font aujourd'hui place à l'amour, en témoigne le titre "Je te veux maintenant" qui est proposé comme deuxième extrait de ce cinquième acte.

Costume froissé et cœur brisé dans le clip "Je te veux maintenant". Cali est encore amoureux d’une femme qui le rejette littéralement. Celle-ci souhaite tirer un trait sur le passé et préfère s’intéresser à d’autres hommes. Repas romantiques et arrosés à la vodka pour des nuits agitées : dommage que le chanteur s’immisce entre son ex-femme et ses nouvelles conquêtes !

Découvrez le nouveau clip de Cali, "Je te veux maintenant" :


Si ce nouvel extrait vous séduit, sachez que Cali se produira très bientôt dans toute la France pour une tournée qui débutera le 16 mars à Caen. Après une courte visite en Normandie, à Rouen le 23 mars, le chanteur partira à la rencontre des champenois le 1er avril à Reims. Il ira ensuite s’installer quelques jours dans le sud, pour se prouire le 8 avril à Marseille. Avant de repartir échanger quelques pas de danse avec les nordistes, à Lille le 6 mai, il se produira au Zénith de Paris le 4. Malgré son inspiration romantique, l’actualité politique devrait, comme sur ses précédentes tournées, être revue par l’artiste qui ne tarissait pas sur le sujet lors de notre récent entretien : « Les dirigeants se moquent de nous et utilisent le mépris pour commenter le fait que des milliers de personnes défilent dans les rues. En s’attaquant aux retraites, on s’attaque également au travail de nos enfants. C’est normal que les étudiants soient dans les rues. Les enseignants n’en peuvent plus. On est en train de sacrifier beaucoup des privilèges qu’avait l’éducation. Tout ça fait qu’on est rentré dans une spirale où le gouvernement prend des décisions qui ne sont pas acceptées par le peuple. Il continue dans cette voie quand même. Ça ne peut que finir dans la violence ».

Retrouvez l'intégralité notre entretien avec Cali.