"Libérée, délivrée" : Valérie Trierweiler se compare à "La reine des neiges"

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Carton au box-office et succès dans les bacs ! "La reine des neiges" de Chris Buck et Jennifer Lee est devenu en 2014 le plus gros succès des studios Disney devant "Le roi lion" avec plus de 1,3 milliard de dollars de recettes, et aussi le plus gros succès de l'histoire du cinéma pour un film d'animation. Sorti à Noël 2013, "La reine des neiges" a donné lieu à un nombre incalculable de produits dérivés et a accouché d'une bande originale qui a également séduit des millions d'auditeurs.

"Une plante verte qui fleurit quand on lui demande"

Écrit par Christophe Beck, Kristen Anderson-Lopez et Robert Lopez, l'album de la musique du film s'est classé au sommet des charts dans de nombreux pays, dont les États-Unis, et domine le palmarès des ventes mondiales en 2014, talonné par "1989" de Taylor Swift. Le succès a été tout aussi retentissant en France puisque ce sont 250.000 galettes qui se sont arrachées. Succès en grande partie dû au titre "Libérée, délivrée" interprété par Anaïs Delva pour la version francophone, par Idina Menzel et Demi Lovato pour la version anglo-saxonne ("Let It Go").

Et la chanson culte refait l'actualité cette semaine. Lors d'un entretien accordé à Femme actuelle, Valérie Trierweiler en a proposé une analyse très personnelle et politique. « Libérée, je pense que je l'ai toujours été. Sans doute, le fait d'être une femme libérée est compliqué quand on est à l’Élysée. On attend de vous que vous n'ouvriez pas la bouche et d'être comme une plante verte qui fleurit quand on lui demande » a dénoncé la journaliste et écrivaine, Première dame à l'investiture de son ancien compagnon François Hollande à la présidence en 2012, jusqu'à leur rupture en 2014.

"Tout ça ne m'a pas complètement quittée"

Peu enthousiaste lorsqu'elle évoque les obligations que lui incombait son titre de Première dame, Valérie Trierweiler estime que « personne ne doit être amené à ça. Ni une femme ni un homme d'ailleurs » : « Je pense que c'est difficile d'être ramené à ça pendant cinq ans. Ça aura duré moins longtemps donc, oui, je suis délivrée ». Invitée à commenter la seconde moitié du refrain (la tristesse, l'angoisse et la peur m'ont quittée depuis longtemps, nldr), Valérie Trierweiler a conclu : « Tout ça ne m'a pas complètement quittée ». Une phrase qui ne manquera pas d'interpeller tous les Français qui ont lu son livre post-rupture et best-seller "Merci pour ce moment" (2014).

Écoutez la séquence de l'interview de Valérie Trierweler :