Crédits photo : Page officielle Facebook
Peut-être les avez-vous entendu sur la
compilation "SFR jeunes talents 2012" ? Ou bien au détour d'une rue à Angers le soir de la fête de la musique ? Et pour cause : The Lemon Queen y est né.
Simon, François, Gonzal et Guillaume ont fondé le groupe il y a bientôt deux ans. Leur devise : «
une New Wave intarissable, un Rock aussi nostalgique quhéroïque et une électro exaltante ». «
On veut des hymnes, des trucs qui accrochent immédiatement ! » confiait Guillaume dans un communiqué en avril dernier. «
Et moi, sur scène, je veux carrément devenir Anglais », a ajouté François sur un ton à peine blagueur, «
je veux de la folie ! ». La formation essaye de composer et chanter dans la langue de Shakespeare avec autant de talent et de légitimité que nimporte quel groupe british à succès. La preuve avec "Dance Again", sorte de croisement entre un titre des Bee Gees, de MGMT et de Franz Ferdinand, ou plus tard l'incontournable "Sailing In A Wild Love".
Révélé sur la compilation "Angers Kalling" en janvier 2011, The Lemon Queen donne son premier concert un mois plus tard. Les quatre musiciens n'avaient à l'époque que trois morceaux à leur répertoire... Lalchimie a finalement opéré : le groupe a mis «
ses ambitions et ses influences au service dune pop électro fun et colorée, lorgnant vers les dancefloors et rappelant autant la scène new wave des 80s que les plus belles heures de la french touch » explique un communiqué officiel. «
Côté paroles, on aime les thèmes un peu hippie et aussi un peu sex ! » explique le quatuor.
La boum géante et intergénérationnelle à laquelle nous invite le groupe ravira autant les amateurs de
Daft Punk et Justice que les nostalgiques des folles nuits de lHaçienda période "Madchester" ("Bring My Soul") ou les fans de power pop survitaminée ("Im Not A Fool").
Ecoutez "Sailing In A Wild Love" des Lemon Queen :
Les projets des Lemon Queen ? La sortie prochaine d'un clip et surtout l'enregistrement de quelques nouveaux titres en vue de la sortie d'un album. «
Pour quinze morceaux de répétés, on en garde en général un seul ! » précisent les musiciens.