Christophe Hondelatte chante au Gymnase

Le journaliste Christophe Hondelatte rejoindra Philippe Risoli (souvenez-vous de "Cuitas les bananas"), au rang des animateurs télé qui poussent la chansonnette, puisqu'il se produira les 25, 26 et 27 juin prochains, au Petit Théâtre du Gymnase, à Paris, au sein d'un spectacle jazzy le mettant en scène avec ses propres compositions.
«Je suis autant journaliste qu'artiste. Je suis un rêveur. J'ai une dimension dans ma vie qui est artistique. Je vais présenter un spectacle de chansons à Paris : trois soirées au petit théâtre du gymnase, les 25, 26 et 27 juin» déclare-t-il lors de l'émission "Pop Com" sur Canal+.
«Je travaille depuis trois ans maintenant. Je vais interpréter des chansons que j'ai écrites et dont j'ai composé les musiques. Ce n'est pas une carrière mais j'avais ce rêve depuis l'âge de 20 ans, 15 ou 16 même. J'ai toujours chanté. Ça sera de la chanson française plutôt un peu jazzy».

On connaissait déjà le journaliste/animateur, avec une casquette de producteur, aux côtés de Julien Raoux aka Loko (voir sur ce lien), découvert par Christophe Hondelatte lors de la sixième saison de "Nouvelle Star", et pour lequel il avait produit, sans succès, un album il y a deux ans, avant de l'intégrer au sein de son équipe de chroniqueurs, sur son émission "Vendredi, si ça me dit" (voir en fin d'article).

Christophe Hondelatte, né le 17 décembre 1962 à Bayonne, est un journaliste français de radio et de télévision. Entre 1985 et 1988, il travaille successivement à Radio France Pays Basque, Radio France Berry Sud et Fréquence Nord, avant de rejoindre France Info en 1989. Il intègre France Inter l'année suivante. Après être devenu grand reporter en 1994 au sein de la station du groupe Radio France, il présente le Journal de 19 heures, Inter Soir, entre 1996 et 1999 puis le Journal de 13 heures. En 2000, Christophe Hondelatte quitte le service public pour présenter sur RTL la tranche d’information de la mi-journée. Parallèlement, il rejoint France 2 pour présenter "Les documents du dimanche", puis "Faites entrer l'accusé".