Lawson

Crédits photo : Capture YouTube
Difficile de durer ou simplement d'exister quand on est un groupe masculin, alors que One Direction et The Wanted prennent toute la place. Loin de vouloir se considérer comme un boys band, Lawson marche désormais plutôt sur les plates bandes de Maroon 5. Espérant goûter au rêve américain, la bande anglaise a opéré un virage musical sur son précédent single "Brokenhearted", enregistré avec le rappeur B.o.B.. Mais c'est pourtant au Royaume-Uni que le succès d'Andy, Adam, Joel et Ryan est le plus conséquent. Les quatre garçons, qui n'ont pas hésité à poser nus contre le cancer, sont parvenus à classer quatre singles dans le top 10 outre-Manche. Souhaitant désormais conquérir le reste du monde, Lawson revient avec "Juliet".

Dévoilé le mois dernier, ce nouveau titre a pu surprendre par un côté pop, uptempo, très prononcé, où les guitares sont plus que jamais au premier plan, tandis que la mélodie générale possède des influences reggae et que le refrain arbore des "oh oh" fédérateurs. Pour illustrer cette chanson, Lawson nous transporte dans un cabaret des années 60. Les quatre artistes sont sur scène, tandis qu'une mystérieuse jeune femme, campée par le mannequin Kelly Brook, arrive dans la salle et séduit le meilleur parti de l'assemblée pour lui soutirer bijoux et argent. De quoi souligner la personnalité de "Juliet" en plus des paroles « Set her sights on billionaires / All she wants is gold ». La bombe rejoint ensuite le groupe, qui était de mèche, pour fêter leur victoire.

Découvrez le clip "Juliet" de Lawson :



Les fans de Lawson auront donc remarqué que le groupe évolue déjà, un an et demi après la sortie de son premier single "When She Was Mine", numéro 4 au Royaume-Uni. Pourtant, "Juliet" est l'un des sept nouveaux titres inédits qui s'ajouteront à une nouvelle version du premier album de la bande, "Chapman Square". Attendu à l'automne, ce projet contiendra également tous les singles de Lawson, comme "Taking Over Me" ou "Standing in the Dark". Le but est clair : séduire le public international - et surtout américain - et booster les ventes anglaises de "Chapman Square", qui stagne à 110.000 exemplaires.