L'été des festivals : rencontre avec Brigitte aux Francofolies

Brigitte au festival Solidays en juin 2012 / Crédits photo : Abaca
Les Francofolies, c’est un festival que vous aimez?

Aurélie : C’est sympa de revenir ici. En 2011, on avait joué au théâtre de la Coursive, cette année on va se produire sur la Grande Scène, c’est une belle évolution. Entre temps, on a tourné pendant un an dans toute la France, on a beaucoup de chance. En plus, on est hyper bien accueillies, les gens sont adorables.

Vous êtes impatientes de retrouver le public de La Rochelle?
Sylvie : On est ravies, on sait déjà que l'on va jouer dans un cadre exceptionnel, avec le soleil, la mer et des milliers de personnes qui, je l’espère, seront heureuses de nous voir. C’est idéal comme situation. En plus ce soir, on fait un concert un peu particulier, on a des choristes et des musiciens en plus, avec un percussionniste, un claviériste. Ca va être la fiesta sur scène.

Quel souvenir vous auriez envie que les gens gardent de votre prestation?

Aurélie : On a toujours envie que les gens soient contents de venir nous voir, c'est quand même mieux. Là, on a convié plus de musiciens comme c’est une grande scène, on peut se le permettre. On veut que les spectateurs passent un bon moment, c’est tellement plus agréable quand les gens s’amusent et tapent dans les mains.
Sylvie : Soit les gens connaissent notre album et j’espère qu’ils vont être agréablement surpris et qu’ils vont nous aimer encore plus. Soit les gens ne connaissent pas du tout et j’espère qu’on va réussir à leur plaire. C’est toujours un challenge de monter sur scène.

Vous allez avoir le temps de profiter des Francos, de voir des concerts?

Aurélie : Hélas non mais j’aurais vraiment voulu voir Izia. Je l’adore, elle est extraordinaire sur scène. Je l’ai vue à New York il y a trois semaines et ça aurait été super de la revoir, malheureusement, on ne sera pas là samedi.

Qu’est-ce que vous aimez dans le fait de jouer dans les festivals?

Sylvie : Il y a toujours une ambiance détendue, comme c’est l’été ou au printemps c’est souvent en plein air, il y a beaucoup de groupes et on connaît la plupart d’entre eux. Il y a un côté un peu vacances finalement. En plus, les spectateurs sont curieux. Ils viennent voir un ou deux artistes en particulier et finalement ils en découvrent d’autres. On sait que des gens vont nous découvrir ce soir. Notre spectacle est rodé, on tourne depuis un an, on sait ce qu’on doit faire, et en même temps, rien n’est acquis.