Enfant des années 80 et ex-collectionneur de CD 2 titres, il se passionne très tôt pour la musique, notamment la pop anglaise et la chanson française dont il est devenu un expert.
La comédie musicale "Oliver Twist" débarquera à la Salle Gaveau de Paris le 23 septembre 2016. Et c'est Nicolas Motet, repéré dans "The Voice" saison 1, qui campera le premier rôle dans cette adaptation du roman de Charles Dickens. Regardez le clip de "Ce qu'il faut faire" !
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Les comédies musicales envahissent les salles de spectacle pour le plus grand plaisir des spectateurs. Alors après "La légende du Roi Arthur", "Résiste" ou "Flashdance", et alors que "Les 3 Mousquetaires" fera aussi l'événement en 2016, c'est "Oliver Twist" qui s'apprête à débarquer en résidence à Paris. Le chef-d'uvre de Charles Dickens, paru à l'origine en 1837, va donc s'offrir une nouvelle jeunesse avec un spectacle dont le coup d'envoi sera lancé le 23 septembre 2016 à la Salle Gaveau. D'une capacité de 1.000 sièges, la salle accueillera pour l'occasion une création inédite, dont la lecture avait eu lieu au Théâtre Dejazet en avril dernier avec Jeremy Charvet ("The Voice") et qui sera mise en scène par Ladislas Chollat ("Le Père", "Une heure de tranquillité", "Momo", "Résiste"...).
Sur scène, le public devra s'attendre à applaudir un orchestre de sept musiciens et une troupe de quinze comédiens, chanteurs et danseurs, dont Nicolas Motet, âgé de 15 ans. Si ce nom vous dit quelque chose, c'est que l'adolescent s'est fait repérer dans la saison 1 de "The Voice Kids" en interprétant "Love Me Again" de John Newman. Coaché par Louis Bertignac, Nicolas n'avait pas franchi l'étape des battles. Malgré tout, il campera le rôle d'Oliver Twist dans la comédie musicale dont il interprète d'ailleurs le premier extrait "Ce qu'il faut faire".
Regardez le clip "Ce qu'il faut faire" du musical "Oliver Twist" :
"Ce qu'il faut faire", écrit et composé par Shay Alon ("Avenue Q") et Christopher Delarue, qui tiendra également un rôle clé dans la comédie musicale, se révèle être une ballade réussie mais classique et sans refrain fort, dans laquelle Oliver Twist rêve à de meilleurs lendemains et à rendre fier son père. « Y aurait-il quelqu'un de bien dans ce monde ? / Quelqu'un qui saurait que je suis plus que ça » se demande l'orphelin. Le musical "Oliver Twist", bâti « à partir d'un livret construit dans la pure tradition anglo-saxonne » et dont les tarifs oscillent entre 14 à 84 euros, saura-t-il s'imposer ?