Vincent Liben

Crédits photo : Pierre Debroux
Sorti au mois de septembre, le deuxième album de Vincent Liben avait dans un premier temps été soutenu par le duo "Mademoiselle liberté", enregistré avec la chanteuse Berry. Un morceau qui n'est pas sans rappeler l'intitulé du premier album de la jeune femme, "Mademoiselle", sorti en 2008 et auquel succèdera le 23 avril l'album "Les passagers". Avait ensuite été envoyée aux radios la chanson "La condition de l'allumette", aujourd'hui rangée au placard au profit du titre "Le soleil et la mer", bien plus accrocheur et probablement plus apprécié des programmateurs en radio.

Car Vincent Liben n'a pas encore vraiment pu compter sur le soutien des médias pour promouvoir son nouvel album. Lors d'une interview accordée à Pure Charts, le chanteur s'exprimait sur le sujet : « Je ne me suis jamais entendu quand je faisais mes courses par contre... Ils passent des trucs souvent alternatifs là où je fais mes courses, je n'ai jamais compris pourquoi, mais du coup c'est un bon endroit pour faire des découvertes (rires) ! Parfois je reste planté à écouter... » avait-il déclaré. Inversera-t-il la tendance avec "Le soleil et la mer" ?

Ecoutez le nouveau single de Vincent Liben, "Le soleil et la mer" :


"Vincent Liben" est un album qui parle d'amour, sous tous les angles. « Si mes chansons parlent certes, de l'amour, elles parlent aussi de ruptures. C'est la relation amoureuse inscrite dans le temps qui passe. Et j'aime quand il existe plusieurs lectures des chansons. Je te conseille par exemple de relire "Puerto Loco" sous un autre angle (sourire). Alors c'est vrai qu'il y a un côté fleur bleue, mais aussi un côté beaucoup plus cru... » expliquait l'artiste lors de notre rencontre avant de révéler la part d'autobiographie qui s'immisce dans chacune de ses chansons : « Il y a une part d'autobiographie, et une part de “vie rêvée”. C'est comme si je complétais ma vie en fait, comme si elle ne convenait pas complètement et que je l'enjolivais. C'est pour ça que je suis un fan de cinéma aussi, parce que ça m'emporte ailleurs ».