Jeremy Chatelain

Crédits photo : D8
Après un lancement difficile l'an dernier en même temps sur D8, à l'occasion de la naissance de la chaîne, l'émission "Le Grand 8" présentée par Laurence Ferrari a subi plusieurs modifications, introduit un nouveau plateau et changé d'horaire. Des choix qui ont payé, les audiences repartant à la hausse après des débuts très compliqués. Et pour la deuxième saison de son rendez-vous matinal, l'émission a enrichi son équipe en faisant appel à quelques petits nouveaux pour proposer des chroniques inédites. Parmi eux, Jérémy Chatelain. Le chanteur français, révélé dans la deuxième saison de la "Star Academy", est ainsi en charge d'un segment hebdomadaire au cours duquel il analysera chaque semaine ce qui marche ou ne marche pas.

Et c'est aujourd'hui que le chanteur et producteur a fait ses premiers pas sur le plateau face à Laurence Ferrari, mais aussi Hapsatou Sy, Roselyne Bachelot, Audrey Pulvar et Elisabeth Bost. Et pour cette première, il a décidé de s'intéresser aux Français qui marchent à l'étranger. Il ne s'agissait pas uniquement musiciens mais de tous les types d'artiste, aussi bien dans la mode comme Christian Louboutin que dans le design et la réalisation, avec une mention à Romain Gavras, qui a réalisé des clips pour M.I.A ou Kanye West et Jay-Z. Stromae, invité de l'émission, est lui aussi félicité par le jeune homme pour sa capacité à faire danser l'étranger sur des textes en français.

Regardez la première chronique de Jérémy Chatelain dans "Le Grand 8" :



Sur les réseaux sociaux, la première chronique du jeune homme a fait l'objet d'un accueil mitigé. Les internautes ont été surpris par le ton très libre de Jérémy Chatelain, peut-être trop à l'aise - ou pas assez ? - et qui a multiplié les anglicismes tout au long de la chronique. Parlant de « la France qui bounce » - et non celle « qui bande », comme l'a entendu Roselyne Bachelot -, celle « qui a des bons grooves », il a aussi employé l'expression « ça défonce » à outrance, taquinant les autres chroniqueuses sur leur âge, notamment. Un style clivant qui ne laisse pas indifférent. Reste à voir si Jérémy Chatelain trouvera ses marques dans les semaines à venir.