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Nicole Scherzinger veut reformer les Pussycat Dolls : "Ça me manque"

Par Théau BERTHELOT | Journaliste
Passionné par la musique autant que le cinéma, la littérature et le journalisme, il est incollable sur la scène rock indépendante et se prend de passion pour les dessous de l'industrie musicale et de l'organisation des concerts et festivals, où vous ne manquerez pas de le croiser.
Séparées depuis 2010, les Pussycat Dolls pourrait néanmoins bientôt se reformer. C'est ce que souhaite Nicole Scherzinger, l'ancienne leader du groupe, qui exprime un "manque".
Crédits photo : Bestimage
Après le carton de la tournée des Spice Girls et éventuellement le retour des Destiny's Child, les Pussycat Dolls seraient-elles sur le point de se reformer elles aussi ? C'est en tout cas ce que souhaite Nicole Scherzinger. La chanteuse et mannequin, qui était à la tête du groupe jusqu'à sa séparation en 2010, voudrait donc retrouver ses anciennes collègues, comme elle le déclare sur les ondes de la radio australienne Nova : « On ne sait jamais. Ça me manque vraiment d'être en tournée. J'aimerais qu'on y retourne un jour et ce serait la fête ! ». Si la star a sorti deux albums en solo depuis, elle pense très souvent à une possible reformation : « Quand je suis partie pour continuer en solo, j'ai vraiment aimé partir en tournée avec mes danseurs. Mais je me disais, "Mon Dieu, les filles me manquent". J'aimerais être capable de revenir pour elles, juste pour passer un bon moment et respirer ». Actuellement coach dans la version australienne de "Incroyable Talent", la chanteuse aurait donc une envie folle de remonter sur scène avec le groupe qui a fait son succès il y a une quinzaine d'années.

Une première reformation à scandale


Pour rappel, le girls band avait véritablement marqué la décennie 2000. En seulement deux opus, les Pussycat Dolls ont écoulé plus de 15 millions d'albums et 40 millions de singles grâce aux tubes "Buttons", "Don't Cha" ou "I Hate This Part". Séparé en 2010, le groupe est revenu au devant de l'actualité en plein mouvement #MeToo puisque Kaya Jones, une des anciennes chanteuses, avait affirmé que le groupe cachait un « réseau de prostitution ». Des accusations fermement démenties par la fondatrice des Pussycat Dolls, Robin Antin, dénonçant des « mensonges écoeurants et ridicules ». « Comparer nos rôles dans les Pussycat Dolls à de la prostitution ne discrédite pas seulement tout le dur travail que nous avons réalisé durant ces années mais jette aussi de l'ombre sur les millions de victimes qui parlent et sont entendues à travers le monde » avait ensuite réagi le groupe entier dans un communiqué. L'année dernière, Robin Antin a décidé de monter de son côté un nouveau groupe, The Pussycat Dolls : New Generation, sans faire appel à ses anciennes comparses. La reformation souhaitée par Nicole Scherzinger se passera-t-elle de Robin Antin ?
Pour en savoir plus sur The Pussycat Dolls, visitez leur site officiel et leur page Facebook.

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