Après les succès du "Roi Soleil" et de "Cléopâtre", Kamel Ouali dévoilera à partir du 30 septembre 2011 au Palais des Sports de Paris, sa troisième et nouvelle comédie musicale : "Dracula" (dont les locations sont d'ors et déjà ouvertes). Sur des chansons originales, le spectacle mettra en avant lhistoire de lamour impossible de Dracula, en quête dun idéal, tiraillé entre passion et raison. Tout en sappuyant sur la personnalité complexe du héros de Bram Stoker, à la fois énigmatique et mélancolique, Kamel Ouali présentera dans ce show un vampire troublant mais attachant, au destin solitaire, brave et sensible, loin dune créature terrible et sanguinaire.
Golan Yosef sera le Dracula de Kamel Ouali
Les décors et costumes mêleront modernité et réminiscences baroques. La troupe de chanteurs comédiens et danseurs évoluera dans un univers onirique, tantôt obscur, tantôt ludique. Parmi ces derniers, notons quelques visages déjà connus du grand public : Ginie Line, présente il y a dix ans dans "Les dix commandements" de Pascal Obispo, interprète notamment du tube "Le dilemme" (après un premier single "Un simple pas" à la fin des années 90, et avant une carrière solo échouée, portée pourtant par le hit "Jusqu'à la tolérance"), Julien Loko, repéré au sein de la sixième saison de "Nouvelle Star" (voir sur
ce lien), et dont le premier album a depuis été produit par
Christophe Hondelatte ("Faites entrer l'accusé"), ce dernier l'ayant même recruté parmi les chroniqueurs de sa feu-émission hebdomadaire "Vendredi si ça me dit", il y a deux ans, ou enfin Lola Ces, récemment aperçue dans "Le Soldat Rose" ou "Cendrillon".
Produit par Warner Music France, lalbum du spectacle musical "Dracula" sera en vente le 18 avril 2011, et le premier extrait sera diffusé en radio dès le 15 novembre prochain. Jennifer Ayache de Superbus, mais aussi Lionel Florence,
Patrice Guirao, Philippe Uminski et Volodia, seront parmi le crédit des auteurs et des compositeurs de ce disque.
Kamel Ouali promet de rester fidèle à sa conception du grand spectacle musical et dinnover par un travail sur les images et les lumières encore jamais proposé à ce jour, pour surprendre, et même renouveler le genre.
«
Les danseurs porteront des capteurs qui leur permettront d'être intégrés à des images projetées sur un écran. En mettant des lunettes spéciales, les spectateurs seront plongés dans des effets en relief et ne feront plus la différence entre le réel et le virtuel» confie-t-il à nos confrères du "Parisien".