Joyce Jonathan signée sur MyMajorCompany

A seulement 18 ans, Joyce Jonathan propose des chansons simples soutenues par une voix envoûtante et beaucoup, beaucoup de très belles promesses pour l'avenir.
«Quand j’étais petite, très petite, je suis tombée dans la marmite de la folk. Et j’ai tout bu. Les chansons douces amères de Teri Moïse, le timbre de voix si particulier de Tracy Chapman, l’univers coloré de Peter Cincotti... La musique m’a gagnée sans même que je m’en aperçoive. J’ai composé ma première chanson dès l’âge de 5 ans, ça me paraissait tout naturel, aussi naturel que d’avoir des cordes de guitare ou des touches de piano au bout des doigts. Ça n’a pas vraiment changé avec le temps. Aujourd’hui j’ai 18 ans, mon bac en poche, une centaine de chansons à mon actif et un seul métier en tête: "auteur, compositeur, interprète"» déclare-t-elle.




Signée sur le label participatif de Michael Goldman, MyMajorCompany, et faisant suite à Grégoire, Agonie ou Thierry de Cara, Joyce Jonathan a très rapidement atteint les 70 000 euros de mises des internautes depuis son inscription en décembre 2007. La jeune fille proposera dans quelques semaines un premier album réalisé par Louis Bertignac avec la participation à la guitare de Benjamin Siksou, et un duo avec Tété. Un disque actuellement porté par le single "Je ne sais pas" - en rotations sur Europe 1 et Virgin Radio.
«L’aventure MyMajor c’est un moyen pour moi d’aller à la rencontre de mon public sans passer par la case "télécrochet-célébrité facile" qui nous fait souvent oublier l’essentiel: la musique. C’est à travers elle que je vous invite à me suivre, et si affinités, un jour, peut-être, dans une salle de concert...».

Seulement voilà, y'aura-t-il réellement une place au soleil pour tous ? La force de frappe de promo du label sera-t-elle égale pour chacun ? Car si Grégoire est une indéniable réussite commerciale, et que Thierry de Cara en prend le même chemin avec son single "Reste" - déjà sur toutes les lèvres, la rappeuse de l'écurie MMC est, elle, franchement à l'agonie. A suivre...