Lââm a publié en janvier dernier, à l'occasion de ses dix ans de carrière, un premier Best Of : "On a tous quelque chose de
Lââm". Un disque (et son DVD avec l'intégralité des clips et son concert à l'Olympia) sur lequel s'enchainent "Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux" (Top 2), mais aussi "Jamais loin de toi" (Top 4), "Les enfants de l'an 2000" (Top 4), "Petite sur" (Top 2) ou "Le sang chaud" au featuring de Princess Aniès (Top 7), il inclue également son duo avec Jennifer Paige, "Ta voix (The Calling)", "Ce qui nous manque de toi" (en hommage à Carole Fredericks), signé Jacques Veneruso, Michael Jones, et
Jean-Jacques Goldman (un morceau déjà présent sur le troisième opus de Lââm) - et relancé sans succès en radios en février dernier, ainsi que le nouveau single choisi, l'inédit "Je chante encore".
Lorsqu'elle explose en 1998 avec son single qui reprend "Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux", de Michel Berger, Lamia aka
Lââm a bientôt 26 ans et une expérience certaine de la vie. Née à Paris de parents tunisiens, deuxième d'une famille de sept enfants, elle s'est retrouvée à la DDASS dès l'âge de 6 ans, et jusqu'à l'adolescence. Travaillant ensuite comme serveuse, elle auditionne partout où elle peut, et sa voix puissante va finir par convaincre pour déboucher sur l'album "Persévérance" en 1999, mêlant soul, hip-hop, et R'n'b.