Selena Gomez

Crédits photo : Bestimage
Après Demi Lovato, c'est une autre jeune popstar américaine qui est en train d'inquiéter ses fans. Selena Gomez a été hospitalisée dans une unité psychiatrique sur la côte Est des Etats-Unis suite à un "choc émotionnel" (« emotional breakdown » en anglais). Selon les informations de TMZ, qui a annoncé la nouvelle, c'est la « deuxième fois en deux semaines » que l'interprète de "Back to You" se rend à l'hôpital. Cela fait suite à un déficit de globules blancs certainement dû à la greffe d'un rein qu'elle a reçue l'année dernière. Cette seconde hospitalisation, due donc à une complication de son opération, aurait plongé la chanteuse dans un état dépressif intense.

#PrayForSelena

Le site people américain nous apprend que lors de cette deuxième visite, Selena Gomez aurait insisté pour partir assez rapidement de l'hôpital, ce qui lui fût refusé par les médecins. Suite à cela, l'interprète de "Fetish" aurait arraché de force son intraveineuse pour partir. Un proche de la chanteuse a expliqué au site américain People que « cette crise de panique a été le point de non-retour. Elle a réalisé qu'elle avait besoin davantage d'attention pour l'aider à s'en sortir. Elle est actuellement entourée de sa famille proche et reçoit beaucoup de soutien. Aujourd'hui, elle va mieux et se fait traiter sur la côte Est ». En plus de sa famille, les fans de la chanteuse se sont mobilisés sur les réseaux sociaux et le hashtag #PrayForSelena cumule à ce jour près de 80.000 messages.

Cette triste nouvelle intervient au moment même où Selena Gomez cartonne musicalement avec "Taki Taki" (15 millions de vues, 56 millions d'écoutes), en collaboration avec DJ Snake, Cardi B et Ozuna. Parallèlement, la chanteuse a récemment annoncé qu'elle allait faire une pause loin de l'attention des médias : « Je suis reconnaissante que les réseaux sociaux puissent nous donner la chance de nous exprimer mais je le suis tout autant de pouvoir m'en retirer actuellement. Souvenez-vous : les commentaires négatifs peuvent blesser n'importe qui » commentait-elle pour expliquer cette décision.