C'est ce que l'on appelle une boulette. Un petit dérapage verbal que la star canadienne aurait bien aimé éviter. En pleine campagne mondiale de promotion avant la sortie de son nouvel album "Believe" attendu le 18 juin, il a accordé une interview au tabloïd britannique "The Daily Mirror". Il a, alors, été interrogé par le journaliste sur le lieu où avait été enregistrée une de ses nouvelles chansons. Question à laquelle Justin Bieber a répondu : « J'étais dans un de ces pays quelconques ». Immédiatement, son manager Scott "Scooter" Braun, l'a alors interrompu et précisé que c'était en Indonésie, précise le quotidien tabloïd.

Le mal était déjà fait. Le tabloïd a publié telle quelle la réponse. De quoi susciter la colère de ses admirateurs indonésiens, dans un pays doté de la troisième plus grande communauté Facebook et du cinquième plus grand nombre de comptes Twitter. De nombreux fans lui ont ouvertement réclamé des excuses. Pire encore, il a été immédiatement boycotté par la principale radio pour ados Kiss 105 FM. « Notre pays a un nom, nous ne sommes par un pays quelconque et nous sommes certainement vexés. Ce qu'il a dit était déplacé », a fait valoir à l'AFP Beldi Dimardi Abas, le patron de la station.



Conscient des proportions que prenaient sa « petite phrase », le chanteur de "Boyfriend" s'est fendu d'un tweet aujourd'hui où il assure à l'Indonésie son "amour" : « Une rumeur que je ne peux pas accepter est celle qui dit que ce qui existe entre mes fans et moi n'est pas vrai. Indonésie, je te vois. Je t'aime. J'aime TOUS MES FANS », a-t-il ainsi posté.