Julien Clerc

Lors de notre entretien réalisé au mois de novembre, à l'occasion de la sortie en bacs de l'album "Fou, peut-être", Julien Clerc s'était exprimé au sujet des possibles singles qu'il envisageait pour la promotion de ce disque. « J'avais émis en possible single les trois premières chansons de l'album. Généralement, je faisais écouter quatre ou cinq chansons car il est très difficile d'écouter douze titres d'affilé, même de quelqu'un qu'on aime bien. Ces cinq chansons, je me dis finalement que ce sont les cinq qui ont une chance de rester après le grand écrémage. » avait-il expliqué.

Les trois premières pistes de l'album "Fou, peut-être" sont respectivement "Hôtel des caravelles", que l'on avait beaucoup entendu sur les ondes durant l'automne, "Le temps d'aimer", présenté aux médias début janvier, et "La nuit c'est tous les jours". C'est donc très logiquement cette chanson qui a été envoyée aux radios afin de poursuivre l'exploitation de ce projet symphonique réalisé avec la complicité de Philippe Uminski. Un disque qui séduit puisque ce sont déjà 165.000 français qui sont tombés sous son charme.

Ecoutez le nouveau single de Julien Clerc, "La nuit c'est tous les jours" :


C'est plus particulièrement sur scène que ces nouvelles chansons prennent de l'ampleur. Julien Clerc s'est lancé en ce début d'année dans une nouvelle tournée symphonique qui faisait escale au Palais des Congrès au mois de janvier. L'artiste sillonnera le pays encore quelques semaines avant de revenir s'établir au Palais des Sports de Paris pour huit dates entre le jeudi 31 mai et le samedi 9 juin.

Des chansons dont Julien Clerc est apparu fier lors de notre rencontre. « Je pense franchement que c'est un bel album. Je pense que c'est un disque très écrit avec du fond. Je l'ai trouvé étonnement frais pour des chansons que j'ai écrites assez vite. » nous avait-il confiés. Il faut dire que le compositeur a fait appel à quelques-unes des plus belles plumes de la chanson française pour l'écriture de ses textes. On retrouve Maxime Le Forestier sur le titre éponyme "Fou, peut-être", mais également d'autres auteurs de la jeune génération comme Alex Beaupain, Julien Doré et Mike Ibrahim.