Jehro

"L'arbre et le fruit", son premier album solo signé chez Chrysalis/Emi sous son nom d'origine : Jérôme Cotta, lui valu un véritable succès d'estime en France. C'était en 1999, Jérôme passait sur les radios, affectionnait les nourritures exotiques du 10ème arrondissement de Paris, les soirées entre amis et les bonnes bouteilles de Bordeaux. A ses heures perdues, il jamme dans le studio de deux nouveaux camarades rencontrés dans sa cours d'immeuble : Christian Brun et Richard Minier. En lui offrant l'opportunité d'explorer d'autres voies musicales, le team Marathonians-Superfruit détourne quelque temps Jehro de son parcours solo et ce sera le début d’une collaboration artistique fructueuse. De maquettes publicitaires aux tonalités indo-électro, aux chansons Calypso Pop qu'il interprète et co-écrit sur l'album "A Tropical Soul Adventure" des Marathonians (2003), Jehro s'oublie au point de n'être plus qu'une voix, chargée d'une histoire, la sienne.

En cette année 2011, et cinq ans après la parution de son premier disque éponyme (Top 49 en 2007), Jehro est de retour, en bacs à partir du 11 avril prochain (en lieu et place du 11 mars comme c'était prévu) son successeur "Cantina Paradise", actuellement porté en radios par un premier extrait : "Tonight Tonight...". Si le chanteur se produira le 26 mai sur la scène du Café de la Danse de Paris, il envisage d'ors et déjà de prolonger dans notre capitale, avec une date supplémentaire le 10 octobre prochain à La Cigale.

Visionnez l'EPK du nouvel album de Jehro :


Au sud, dans un petit village aux accents toniques, quelque part au milieu des terres ocre rouge est née la première mélodie du premier projet d'album éponyme, Jehro, chanté en anglais et réalisé par le duo de producteurs Marathonians. Un album qui se nourrit de musiques populaires caraïbéennes (calypso, parangue, reggae...) et folk, et d’histoires de vie de gens simples avec des textes co-écrits avec Jake Bailey. Opus notamment nommé aux Victoires de la Musique 2007, dans la catégorie "Meilleur album world". Déjà le début de la consécration pour Jehro. Fait pour la scène, l'artiste a réalisé de nombreux concerts en France et en Europe. Puis est venu doucement s'installer Maxim Nucci aka Yodelice, qui étrangement sur le même créneau, change lui aussi de pseudonyme.