Britney Spears

Crédits photo : Abaca
La situation autour de la tutelle de Britney Spears continue d'être suivie ardemment par les fans et les médias. Alors qu'elle est désormais autorisée à choisir son avocat et que celui-ci promet des démarches « agressives et rapides » pour essayer de se débarrasser de la tutelle de Jamie Spears, la chanteuse a poussé un coup de gueule sur les réseaux sociaux ce week-end. Dans deux longs messages, elle pointe du doigt ceux qui disent la soutenir publiquement alors qu'ils ne l'ont jamais aidée et assure qu'elle « arrête » la scène tant que son père contrôle sa vie. « Mon soi-disant système de soutien me blesse profondément !!! Cette tutelle a tué mes rêves » se désole-t-elle dans un post Instagram aimé plus de 2 millions de fois sur Instagram : « Comme je l'ai dit, l'espoir est la seule chose que j'ai en ce moment... vous avez de la chance que je puisse poster des choses (...) Les gens essaient de tuer l'espoir car c'est l'une des choses les plus vulnérables et fragiles qui soit ».

"Jamie appelait trois à quatre fois par jour"

Alors que son procès continue, les langues se délient dans l'entourage de la popstar. Après son petit ami Sam Asghari ou son désormais ancien manager Larry Rudolph, c'est au tour de Fernando Flores de briser le silence. Cet ancien policier était le garde du corps de Britney Spears en 2010, un peu plus d'un an après le début de la tutelle de son père Jamie. Interrogé par le Sun, il fait des révélations inquiétantes sur la chanteuse qui, selon lui, était droguée de force. Comme il l'explique dans les colonnes du tabloïd anglais, une femme donnait à Britney Spears chaque vendredi un cocktail de médicaments à base de « trois antipsychotiques et des pilules contraceptives ». « Elle passait d'un état sobre à un univers parallèle » complète Fernando Flores, clamant à quel point Jamie Spears était omniprésent dans le quotidien de sa fille, surveillant ses moindres faits et gestes : « Jamie appelait trois à quatre fois par jour pour savoir comment ça se passait. Si elle voulait quelque chose, elle devait demander sa permission ».

Selon lui, la chanteuse « passait ses journées à regarder la télé ou à faire du sport » : « Quand elle était au plus bas, elle écoutait "It's A Man's Man's Man's World" de James Brown ». Des révélations de plus en plus inquiétantes qui rappellent celles lancées il y a quelques semaines par Iggy Azalea. La rappeuse, qui a chanté en duo avec Britney Spears sur "Pretty Girls", expliquait que Jamie Spears l'a obligée un signer un contrat de confidentialité « quelques instants avant (leur) prestation aux BMAs » : « J'ai été personnellement témoin des mêmes comportements que Britney a détaillé la semaine dernière concernant son père. Je veux la soutenir et dire au monde qu'elle ne ment et n'exagère pas ».