Crédits photo : ABACA / Montage Pure Charts
De retour dans les bacs le 15 juin avec un disque de reprises hommage à Charles Trenet, "Trenet vu par Benjamin Biolay", l'interprète de "La superbe" fait aussi beaucoup parler de lui pour sa récente séparation. Compagnon de Vanessa Paradis pendant plusieurs mois selon plusieurs médias, pour laquelle il a par ailleurs réalisé l'album "Love Songs" sorti en 2013, le chanteur dit être la cible de la presse people qui rapporterait une « version scénarisée » de sa vie. Dans le collimateur : France Info.

"Ces gens me volent ma vie"

Le site a publié un article racontant en détail les événements qui ont conduit les deux artistes à rompre il y a quelques jours. « Quand j'ai entendu ce qui allait sortir sur France Info, je me suis dit "Ce n'est pas possible". Vu ce que j'ai vécu, je ne m'attendais pas à un truc tourné comme ça. Je ne pensais pas pouvoir être l'objet d'une telle infamie, d'une telle traque. Je n'ai jamais vécu un mensonge aussi éhonté que ça » a-t-il expliqué à nos confrères du Figaro, tenant à rétablir la vérité alors qu'on lui prête une relation avec Anna Mouglalis. Visiblement très touché par les informations apparemment erronées au sujet de sa vie amoureuse, Benjamin Biolay accuse les tabloïds de diffamation. « Je pensais qu'il n'y avait rien de pire au monde que de voir sa vie privée exposée dans les tabloïds. Depuis le jour de mon mariage, ces gens me volent ma vie. Mais ce qui est raconté aujourd'hui n'est pas ma vie » a-t-il conclu.

"J'aime beaucoup François Hollande"

Toujours dans le cadre de la promotion de son nouvel opus, dont le premier extrait "Revoir Paris" tourne en radio, l'artiste a profité d'un entretien avec "L'Express" pour renouveler son affection au président de la République. « Ce n'est pas parce que François Hollande est impopulaire que je vais lui cracher dessus comme la meute. Je l'aime beaucoup. Il travaille énormément, il résiste à tout » a-t-il tout d'abord tenu à rappeler, affirmant par la suite qu'il le soutiendrait en 2017 s'il décide de mener une campagne pour renouveler son mandat. « Je ne suis pas une girouette et la gauche reste mon courant de pensée ; Je n'ai rien à dire de nouveau, à part "faites le mieux possible", même s'il y a parfois des raisons d'être fâché. Je ne pense pas à François Hollande, mais à l'ignoble affaire Cahuzac, à l'ignoble Thévenoud, qui salissent le travail de milliers de militants » a-t-il enfin souligné.